Les faits relèvent du sabotage
Pour Me Xavier-Philippe Gruwez qui représente plusieurs victimes, ce sera « un petit procès pour un petit bonnet. Une seule personne physique est mise en examen et ça aurait dû être un procès d’assises, les faits relevant du sabotage ». S’il se félicite du renvoi de la SNCF, il estime toutefois que « la qualification retenue est en dessous de la réalité du dossier ».
S’il y a malfaçon ou non-façon, c’est un acte de sabotage, martèle Me Gruwez, avocat de plusieurs victimes.
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